vendredi 22 février 2008

LAURENT GERAULT, CHEF DE FILE DU MODEM

Voici le clip de présentation de Laurent GERAULT, chef de file du MoDem d'Angers, candidat aux côtés de Christophe Béchu sur la liste du Parti des Angevins.
Laurent Gérault a reçu l'investiture officielle du Mouvement Démocrate, et le soutien officiel de François BAYROU.
A ce titre, les candidats qui figurent à ses côtés sur la liste conduite par Christophe Béchu sont les seuls habilités à se prévaloir du nom du parti, de son sigle et de ses éléments d'images.
Fidèle aux options de son président, le MoDem angevin a privilégié depuis toujours une démarche de raison et de conviction, celle du service de la ville et celle d'un projet novateur propre à assurer à Angers le changement de majorité municipale dont elle a besoin.


Geraut
envoyé par bechu2008

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonsoir


Je vous avoue que je ne comprends pas bien ce qui se passe à Angers.
En effet admirateur de Monsieur Bayrou, et à l'écoute de ses réflexions, je trouve surprenant que ce Monsieur Gérault parte avec quelqu'un de l'UMP, alors que sur Pau, l'UMP, veut couler Monsieur Bayrou!
De plus sur Angers, une forte délégation Modem est partie avec Monsieur Antonini!
Merci de m'éclairer sur ce départ surprenant avec l'UMP!

Cordialement

Moncaut

inmediostatvirtus a dit…

La démarche du MoDem angevin repose sur un partenariat de gouvernance, qui s'est étendu à des centristes monniéristes (entrés dans la majorité du conseil municipal à l'époque de Jean Monnier, comme Michelle Moreau) et à des socialistes qui refusent l'autoritarisme du maire sortant (comme Hervé Carré, conseiller général). Tous deux étaient adjoints de Jean Monnier, ont démissionné et ont acccepté de rejoindre Christophe Béchu.
Quant à ceux qui sont partis du côté de Jean-Claude Antonini, il s'agit d'une démarche séparatiste initiée par Bernadette Caillard-Humeau, issue de Cap 21, qui n'a fait qu'un bref passage au MoDem, puisque n'ayant pas accepté les décisions de la commission des investitures, elle a préféré négocier avec le maire sortant, entraînant avec elle un groupuscule qui ne représente que lui-même. Ce groupe qui n'a pas respecté les décisions de François Bayrou s'est de fait exclu du MoDem et ne peut aucunement s'en revendiquer.
Enfin, le cas d'Angers est loin d'être unique, c'est la même chose à Bordeaux, où le MoDem part sur la liste d'Alain Juppé.
Enfin, on ne peut pas laisser dire que le MoDem angevin part avec l'UMP, à partir du moment où le sigle de l'UMP, pas plus que celui d'aucun autre parti n'apparaît sur l'intitulé de la liste.

Anonyme a dit…

Bonjour

merci pour votre explication, c'est un peu dur de comprendre les rouages de la politique!
Cependant vous dites que Madame Caillard Humeau était de CAP21, mais le Modem si j'ai bien compris est un tout nouveau parti politique qui a regroupé justement CAP21 et l'UDF (et d'autres ?) Monsieur Gérault est-il aussi issu de CAP21,
De plus ce parti est né au présidentiel(?)
Enfin ne pas politiser les élections, je crois qu'il ne faut plus prendre les électeurs pour des idiots, car nous savons trés bien que les grandes villes sont des tests, Monsieur SARKOSI l'a bien affirmé.
Merci de m'excuser pour ces réflexions, j'essaie de comprendre!

inmediostatvirtus a dit…

Laurent Gérault était à l'UDF. Le MoDem ne s'est pas fait à partir de rien. Ses adhérents sont porteurs de leur histoire. Ce n'est pas parce que le président en exercice veut faire des élections municipales un test national, tout comme du reste Ségolène Royal ou Laguiller et Besancenot qu'il faut aller voter comme si c'était le 3ème tour de la présidentielle, alors que l'on engage le destin de la ville pour au moins 6 ans et plus, notamment s'agissant des grands projets structurants.
Politiser l'élection municipale, oui, mais à condition de se rendre compte qu'on élit un conseil municipal. Ce qui n'a rien à voir avec un référendum pro ou anti présidentiel ou même avec un test d'audience ou de notoriété des partis politiques.