jeudi 15 janvier 2009

LE TRAMWAY ANGEVIN OU LA FUITE DU TEMPS

Tempus fugit inexorabile. Le temps fuit inexorablement.
Suite à une réunion qui s'est tenue dans le quartier Létanduère, la première adjointe a visiblement lâché une révélation qui n'était pas prévue sur la check-list communicationnelle.
Après avoir fin août-début septembre 2007 avoir adopté la solution de la voie unique rue de la Roë, tout en jurant ses grands dieux encore six moix avant que OUI-OUI-OUI les deux rames pouvaient s'y croiser, après avoir raillé la proposition pourtant sage d'une mise en trémie de la voie des berges au croisement du pont du tramway, la ville a bien été obligée d'admettre que pour le passage des convois spéciaux et hors gabarits interdits d'accès au contournement autoroutier, il faudrait bien excaver le niveau de la voie des berges pour avoir au moins 5 mètres de hauteur de passage sous le pont, la ville s'aperçoit que l'on ne peut plus mettre les poteaux au milieu de la rue de Létanduère, et qu'il faudra une nouvelle enqueête d'utilité publique pour pouvoir arrimer les câbles aux façades des demeures privatives de la dite rue.
Bref, comme l'exprime le communiqué signé par Gilles Groussard au nom de la minorité municipale, tout cela sent "l'amateurisme".

Gilles GROUSSARD, conseiller municipal d'Angers, conseiller d'agglomération.



Retard du tramway : la minorité municipale parle "d'amateurisme"

Un tramway en 2011 au lieu de 2010 à Angers ? La minorité municipale réagit. Gilles Groussard parle de "cafouillage" et "d'amateurisme". "L’air de rien, les Angevins apprennent par la presse, que les délais de réalisation du tramway s’allongent, s’allongent, s’allongent : 2008, 2009, 2010… aujourd’hui 2011 ! Souvenons-nous que la première ligne a été adoptée à un coût de 140 millions d’euros, elle est aujourd’hui annoncée à 280 millions d’euros, subventions déduites."


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